Description
Je sous-titre cet ouvrage Apoème*.
Un hommage à Henri Pichette Nucléa, pièce de théâtre atomique et son recueil Apoèmes… Un coup de gueule… Dans «L’extrême limite», la politique de ce «toujours plus», les indispensables progrès peuvent t-ils nous gouverner ? Paul de Brancion… nous en parle. Le partage au profit de l’IA…, des services proposés-imposés de nos machines font de nous des sujets. Un oxymore, l’infini-éternel progrès existe-il ? Ma typographie des versets se ponctue par le signe ∞ ce qui implique une lecture plus attentive, plus syllabique, une lecture interprétée. Ce signe infini n’existe pas sans inverser nos repères; Moebius me suggère de penser le temps se substituant à la particule de lumière. Cela est hors de mon entendement tant les déchets du progrès me perturbent et, de plus les épaves satellitaires ne seront pas colonisées par les coquillages marins.
*APOÈME n. m. (De a privatif et poème. – Pour nous, apoème a vite perdu son aspect négatif. Apoésie n’est pas impoésie, non-poésie, anti-poésie. Tant s’en faut. Lorsque nous écrivons un apoème selon notre loi intime et un art inaccoutumé, nous sommes poète autant qu’est musicien l’artiste qui compose une oeuvre «atonale», c’est-à-dire «dans une écriture musicale étrangère aux règles tonales de l’harmonie». Apoésie et atonalité impliquent des recherches positives. «Babelio.com».